NATALIA RYZHAK 
 Grapho
thérapeute
 
  Hypnoth
érapeute  
à
 La Ciotat
 
 
 
 L’écriture maladroite et peu lisible d’un élève   de CE2, un garçon très appliqué et soucieux de   bien faire.   

Après 5 séances seulement les cahiers scolaires de cet élève changent. L’écriture n’est plus un fardeau, mais un outil efficace pour apprendre en toute sérénité !   

L'extrait du cahier scolaire d’une fille, 8 ans et demi, CE2, gauchère, dyspraxique   

L’écriture de la même fille en  CM1, 9 ans et demi, après 10 séances de rééducation suivies par une pause de plusieurs mois. Les progrès sont évidents et durables dans le temps. On constate, en plus, l'augmentation de vitesse et la diminution de fatigue.           
 
  Cette élève de CM1, une fille très appliquée et sensible, a développé une dysgraphie réactionnelle face  aux exigences de sa maîtresse. Celle-ci pénalisait ses élèves pour le travail peu soigné, mais exigeait également la rapidité.     
  En classe la fille opte pour la micrographie (pour se conformer à la réglure des cahiers et pour écrire plus vite). Mais sa "vraie" écriture est differente: ample, grande, peu rigide. Ces deux écritures sont lentes par rapport à la vitesse attendue en CM1. La fille developpe l'anxiété vis-à-vis l’écriture.

 
 
Après 3 mois de rééducation cette élève trouve le compromis entre la grandeur de l’écriture et la vitesse. Elle développe
une écriture de taille moyenne, fluide et lisible.
D
ésormais la fille écrit avec plaisir et assez vite. Elle ne doit plus recopier sa leçon pendant la recréation. « J’écris toujours comme ça maintenant, à la maison comme en classe ».    
     
 
L’écriture sale, retouchée et extrêmement lente d’un élève de la 6-
ème.
  Après la rééducation : l’écriture est propre, la vitesse est acceptable.
  «Je ne sais pas si c’est la prof qui dicte moins vite ou c’est moi qui écris plus rapidement, mais je n’ai plus de soucis de vitesse pendant le cours de mathématiques».  
       
 
  
L'écriture de ce garçon de 12 ans est satisfaisante en ce qui concerne la lisibilité. Mais ses cahiers scolaires sont sales, pleins de retouches. L’écriture est lente, maladroite, très grande. 
  Le stylo est tenu par le poignet entier. 
 (voir ci-dessous) 
Après 6 séances on constate les progrès évidents : la taille des lettres diminue, la ligne de base est stable, les retouches ont presque disparu, le tracé plus est précis et aisé.
 La tenue du stylo est désormais correcte (ci-dessous).  
  
     
    La prise du stylo correcte est un pré-requis indispensable pour l'écriture efficace, rapide et confortable. Hélas, sont de plus en plus nombreux les enfants qui n’ont pas acquis ce bon reflex ou, plutôt, ne l’ont pas trouvé (car la bonne prise du stylo est rarement expliquée aux enfants, comme cela aurait dû être en début de l’apprentissage de l’écriture).
 Si l'enfant n'a pas 
trouvé la position optimale, il va adopter et automatiser la prise la plus confortable parmi celles qu’il avait testées. Souvent la tenue de l’instrument adopté est inefficace. Par exemple, si les doigts sont bloqués par le pouce. A long terme, la fatigue risque d’apparaitre et la vitesse d’écriture sera insuffisante.
   On imagine que changer la tenue du stylo chez un enfant après plusieurs années de   pratique d’écriture est très compliqué. L'expérience montre le contraire ! 
   Voilà mes différents élèves, de CE2 à la 6-ème, qui ont réussi à changer leur prise du stylo après une seule séance de rééducation (et même pendant le premier rdv pour certains, avant que la rééducation débute !)    

  
 

Cette élève de CE2 de 8 ans a tendance bloque l’index avec le pouce.  
   
Après plusieures séances la prise est correcte (à 4 doigts, l’appui se fait sur la phalange latérale du majeur et les doigts sont arrondis). La prise est un peu courte (les doigts sont proches au bout du stylo ce qu’empêche la fluidité et la visibilité).  
 
 
L’aspect sale et peu esthétique de cette écriture s’explique par des nombreuses retouches et ratures dues aux doutes orthographiques (en effet, cet élève de la sixième a des lacunes importantes en orthographe).  
  
 
Dans ce cas la rééducation de l’écriture passe par… la révision de l’orthographe ! La confiance en soi y gagne aussi. Les résultats scolaires améliorent. L’écriture devient plus assurée, précise, propre.